Mon oncle

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Mon oncleEn ce temps-là j’étais espiègle. On ne me tenait pas. Cependant jen’avais vu venir le coup du mariage. Mon mari et moi nous avions voulufaire plaisir et comme pour nous débarrasser on avait dit oui décidés audébut de l’été de faire la fête. De toute façon on n’y couperait pas.Tous les copains nous avons chacun invité à leur mariage. Le cercle serefermait inéluctablement sur nous. Nous prîmes cela en bonne part. Jene regrette rien hormis qu’on aurait pu attendre encore quelques années.Je demeurais quoiqu’il en soit encore adolescente et fofolle dans ma tête.Pour dire vite j’ai toujours aimé les gars et couché avec. J’ai élupresque par hasard mon mari. C’était le plus gentil de la bande. Onn’eût jamais cru qu’il aurait décroché la timbale. D’autres plusvaleureux me convoitaient et volontiers m’eurent fait leur femme. Commepour masquer un peu leur dépit et se venger, ils n’eurent de cesse derépandre partout que je ferais cent fois cocu mon mari et qu’eux s’entiraient à bon compte. Le plus navrant est qu’ils eurent raison. Monmari lui-même ne se faisait guère d’illusions. On ne tempère pas unvolcan. J’avais l’âme d’un cheval fou.A vingt ans je ressemblais à ces petits bonbons voués à être croqués. Jeme savais jolie et en abusais. Coquette et allumeuse comme pas deux. Mamère m’avait maudit cent fois pour cela et mon père soupirait sanscesse. Tous les gars venaient à miauler autour. Je fus quitte d’unavortement à dix-huit ans ce qui me fâcha réellement avec mon paternel.A partir de ce jour, il résolut de me marier à n’importe quel prix et aupremier venu. C’était plus fort que moi, il me fallait l’agrément d’unhomme. Je voulais dans son regard le témoignage de ma séduction.Dans tout pays on appelle cela une garce. Passé mes seize ans je vinsdavantage à dédaigner les gars de mon âge pour courir à ceux qu’onappelait chez les copines, des vieux. Ces vieux cochons perçurent lespremiers le déploiement concluant de mes appâts. Raoul, le pharmacien lepremier au sortir d’école me ramassa un soir pour m’entraîner dans unchemin et au fond de sa voiture me baiser. Nous convînmes qu’en échangede petits cadeaux, il obtint outre d’être sucé, d’avoir aussi le petittrou. Il était copain de cartes du papa. Celui-ci l’aurait tué s’il savait.D’autres amis de mon papa ne se firent pas faute d’en profiter. Sur legrand chemin on ramassait pas mal de filles comme moi. Nous trouvionscruche d’attendre le bus et de nous y empiler. Y’avait toujours un garsen bagnole qui nous klaxonnait. Après c’était toujours le baratind’usage puis la main balıkesir escort sur la cuisse. On se rangeait dans un coin et ilfallait bien sucer et soulager monsieur. Leurs épouses n’avaient pas demots assez durs contre nous. Nous étions trop heureuses de ridiculiserces pécores. Nous savions aussi leur jeunesse sulfureuse. Nous étionsleurs dignes filles.N’empêche je fus un peu embêtée et pris de scrupule après que le curénous eût béni. Ne devais-je pas d’être fidèle à un mari si gentil ou dumoins me refréner quant à mes envies ? Je vous jure que les premierstemps je rembarrais tous les copains. Ceux-ci en furent surpris etmorfondus. Ils me traitèrent de petite bourgeoise et que jouer la grandedame ne m’allait pas si bien. Ils pariaient que j’allais revenir tôt outard au ruisseau. Les choses cependant furent plus compliquées. D’abordje ne renonçais pas à ma mise ce dont se réjouissait mon mari quim’avait élu pour cela.Je portais en effet court et n’avait scrupule qu’on me vit la naissancedes bas et souvent la couleur de la culotte. Juchée sur mes escarpinsj’aimais à faire retentir sur le pavé le talon des escarpins. A coupsure on se retournait. Le désir des hommes en était tout allumé. Pour lereste ostensiblement maquillée et parfumée étais-je. Assurée qu’onbandait dur alentour. Mes parents ne concevaient pas que leur gendren’exigeât pas plus de tenue de moi. Je devais abandonner mon stylepuéril pour devenir une femme. Ils espéraient que survint la maternitépour me changer.Sur ce chapitre j’usais de ruse et freinais comme je pouvais. Mon maride toute façon était d’accord qu’il ne fallait pas avoir trop tôt desmarmots. On voulait encore s’amuser. Mes parents furent contents quenous fumes présentés à un oncle de mon mari, notable et châtelainnotoire. Il écrivait dans des revues et était même passé à la télé. Belhomme on lui avait fait une réputation de Don Juan. Un accident decheval l’avait prématurément assagi. Un détour par la politique avaitachevé de le décevoir des hommes. Il nous reçut avec sa dernière etjeune épouse eurasienne.Du premier regard je sus que mon genre l’avait conquis et ébloui ilressemblait trop à ces vieux cochons qui naguère me ramassait sur lesroutes. Je n’en dis rien à mon mari qui mettait si haut cet homme. Iln’eut compris. Il n’a jamais pu concevoir qu’un seigneur aime à trousserune paysanne. Au début j’en vins à penser que ce serait défi et noblessede résister. Je devais bien cela à mon petit mari. Je décidais deconcéder que peu au châtelain. Tout juste être gentille voire agréable.Aussi escort balıkesir fus-je d’emblée impertinente lui disant le premier jour : « Rangezdans vos poches vos yeux coquins ! »Un temps j’hésitais de renoncer à porter court et sexy. Ainsi en fis-jeun jour quelque essai. Mon mari en prit ombrage commençant à élaborer lesoupçon. J’eus assez de mal à le convaincre que j’avais cru bien fairequant au rang de son oncle en n’adoptant pas ma mise commune de tous lesjours. Bref pour le rassurer j’abandonnais ma sotte initiative et reprismon look d’alors ce qui ne laissas pas de rassurer cet oncle aussi.Celui-ci avait fait la tête avec ma grande robe et qui me faisaitsembler à une nigaude pour parler le langage du mari.A ce propos l’oncle crût devoir mettre les pieds dans le plat ce quiinaugura le genre de nos futures relations. La femme de celui-ci s’étaitblessée en son absence. Mon mari tint à l’amener aux urgences pour unsimple bobo. Il fut convenu que je garderais la maison jusqu’au retourde l’oncle. Au téléphone nous fûmes rassurés. Ils rentreraient sous peudans deux heures. L’oncle revenu entre temps tint pour une fois à avoiravec moi une loyale conversation. Nous nous établîmes sur un divan sousles toits avec à portée une bouteille de Whisky.Je sus comme mon heure venue. Le Minotaure se déploya autour de moi. Ilme rabroua sans fard sur ma malheureuse initiative de m’avoir vouluvêtir autrement que d’habitude. Son regard pénétrant sur mes cuisses netrahissait pas la moindre équivoque sur son désir. Il usa du procédégrossier des séducteurs. Il inventa cette fable que je lui évoquais unancien amour. Il m’avoua que je l’avais en cela et dès le premier jourbouleversé. Avec la dernière vulgarité je lui balançais : « Bref vousavez eu idée depuis de me sauter ? » Il rit de bon cœur car il savait laverdeur de mon style.Ce jour-là sur le divan nous étions à peu de centimètres l’un del’autre. Pour le coup je trouvais ma jupe courte et indécente. Fort peusouvent un homme m’avait si mal mis à l’aise. Je me faisais pute.J’avais honte que son regard coulant entre mes cuisses put impunémentmater la blancheur d’une chair qui affleurait ostensiblement à lanaissance des bas. De même qu’il pouvait voir ma culotte bleue par troptransparente en sorte qu’on y distinguait la chatte et que celle-ciétait parfaitement lisse malgré de rares poils pubiens. Cela étaitofficiellement que pour le plaisir d’un mari.Ainsi ne fus-pas trop étonnée que sa main se hasarda sur le genou. Jevis cela comme un sort inéluctable. J’eus balıkesir escort bayan presque envie de dire : «Qu’on en finisse ! » Il m’intima à me lever et à m’approcher tout contrelui. Ce vieux tigre et satyre s’employa à soulever alors ma jupe et à yenfouir dessous sa tête. Il voulait m’humer à plein nez la chatte. Jefus sensible à ce geste libertin.Ma culotte glissa jusqu’au sol. Il s’enquit à me lécher jusqu’àm’arracher les premiers gémissements.Ses doigts entre temps me tripotèrent chaque orifice. Il prit peu à peupossession des lieux.Peu après il m’installa sur ses genoux et nous collèrent nos bouches etmélangèrent nos langues. Il voulait que je sus qui était le maître. Ilme baiserait un autre jour. Il voulait s’assurer que je fus subjuguée etprête à devenir sa maîtresse et son esclave sexuelle. Je me dis que jen’avais jamais connu un semblable homme et que peut-être en avais-jerêvé depuis longtemps. Nous accueillirent les deux autre après en fauxinnocents ce dont ne sembla pas dupe sa femme. Celle-ci connaissait partrop son homme. Le bobo était réparé et nous passâmes une belle soirée.L’alcool et la pénombre aidant nous nous livrâmes davantage à lafrénésie de l’instant. Face au noble châtelain je fis en sorte que majupe fut davantage remontée sur les cuisses. Celles-ci se concevaientcomme des offrandes. J’espérais que ma chatte gonflée de tantd’espérance et d’attente explosât à travers le fin tissu de la culotte.Je percevais que sa queue devait être bandée jusqu’à la souffrance.J’eus voulu effacer la présence des deux autres comparses pour me jeterdessus et sucer. Sur le chemin j’exigeais de mon mari de s’arrêter aubas côté pour me foutre.Peu de temps après le châtelain vint me visiter en l’absence du mari. Iltint à me prendre dans le lit non pas de la chambre d’amis mais danscelui où s’exerçait le devoir conjugal. C’était le signe de sesnombreuses perversions, travers qui rejoignait le mien. Tandis qu’ilprocédait à une lente et interminable sodomie, son smartphone posé surla table assurait une des nombreuses vidéos dont il était friand. A cetégard je pus voir beaucoup de ses maîtresses prises en toute position.Je ne fus pas peu contente de reconnaître certaines femmes dont l’épousedu pharmacien.Son plaisir était de m’exhiber dans des cafés et restaurants où deslieux remplis d’hommes dontnombre était des amis. Il me prêtait volontiers ou m’ordonnait de sucertel ou tel. Il voulait qu’avec mes cuisses je chauffas tous les mecs etles excitas au-delà de toute borne. Il s’ensuivait des fois une orgie.Je devais encaisser le passage successif de ces mâles. Sans broncher jedevais subir le pilonnage de diverses queues dans mes trous ce devant leregard froid et impassible du châtelain. D’un ton sentencieux il disaitalors: « Je bénis le bon Dieu d’avoir crée une putain ! »

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