Mûres66/trop âgée pour tirer des pipes?L’hôtel de luxe n’était occupé que par des vieilles dames. On ne les voyait qu’avec de jeunes hommes de 20 à 25 ans , qui semblaient flirter avec elles. Certains de ces couples dépareillés se promenaient, bras-dessus, bras-dessous, en faisant crisser les graviers des allées. On voyait une dame aux cheveux blancs, assise sur un canapé dans le hall d’entrée, avec un gamin de 18 ans qui lui tâtait les seins, tout en lui roulant des pelles. Certaines s’étaient assises et discutaient entre elles sur des chaises longues, pendant que des hommes somnolaient, visiblement fatigués.Pour profiter de mon séjour, je devais contenter plusieurs dames par jour.Hedwige m’avait entraîné dans sa chambre. Je ne comprenais pas sa langue. Elle s’était contentée de me dire quelque chose d’un air interrogateur, m’avait pris par la main. Nous avions franchi de longs couloirs aux tapis cotonneux. Elle avait ouvert sa chambre avec une clef dorée, et fermé les lourds rideaux, canlı bahis şirketleri ce qui me paraissait bien hypocrite. Elle me fit signe de me coucher sur son lit. D’un signe, je lui signifiai: -dois-je enlever mon pantalon?Oui, oui, enlève-moi tout ça, évidemment, semblait-elle dire.J’étais nu sur le lit, passif. Elle passa dans la salle de bains. Je commençais à me branler doucement, comme chez les putes.Je m’attendais à voir la vieille dame revenir toute nue. Je me demandais si ses petits seins en poire ressembleraient à ceux d’Evelyne, ma logeuse de 76 ans qui aimait de temps en temps que je m’enfonce en elle, ce qui était laborieux, mais finissait par une bonne jouissance, ma bite étant très serrée dans sa petite chatte.Hedwige revint. A mon grand étonnement, elle était toute habillée.Elle s’approcha, grimpa sur le lit, et à moitié couchée sur un coude, me tournant le dos, commença à me gratifier d’une tendre sucette de grand-mère vicieuse.Elle ne suçait ni canlı kaçak iddaa bien ni mal. C’était simplement bon parce que sa bouche était chaude, parce que sa langue était douce, et que mentalement j’étais toujours excité à l’idée de savoir ma bite câlinée dans la bouche d’une vieille dame chic.Je lui demandai de me faire face. J’avais envie de la voir tandis qu’elle suçait. Elle s’énerva un peu lorsque j’effleurai sa permanente, qui semblait fragile.Elle comprit ma demande. Tant bien que mal, je lui demandai de se déshabiller.Je compris, grâce à quelques rudiments d’anglais, qu’elle ne voulait pas. “fuck”,,seulement “suck”. Pas question de pénétrer la dame.Levant les paumes dans un signe de paix, je lui assurai que j’avais bien compris, mais que je voulais “to see you”…-Quoi, tu veux voir une dame aussi vieille, ça t’excite? ai-je deviné dans ses propos.Bien sûr que j’étais excité. Je me branlais tandis que son austère dignité se déplumé, que ses seins un peu tombants, canlı kaçak bahis un peu tristes mais bien ronds se découvraient, et que sa petite foufoune montrait ses poils fins, comme un canari de luxe qu’on aurait sorti de sa cage.Elle se remit à me sucer. Ce qui était bon, c’est qu’elle gardait un rythme continue. Ses lèvres montaient et descendaient, la caresse appelait mon foutre inexorablement.Je n’avais même pas envie de lui demander de me lécher de telle ou telle manière, ni de me bouffer les couilles comme ma vieille salope de Brigitte.Elle devait avoir l’habitude de décider de tout. J’avais la chance de me faire sucer la bite par une jolie vieille dame autoritaire, qui avait envie de tirer une pipe à un jeune.Elle comprit que ce n’était pas plus excitant de sucer plus fort, de se donner du mal pour rien. Hedwige suçait doucement, sans interruption, en silence. Je commençai à couiner quand le sperme monta dans ma tige.Je lâchai toute la purée entre les lèvres fardées de la dame. Elle ne suça pas plus vite sous prétexte que le sperme montait. Elle continuait, tout simplement, j’envoyais les giclées, et c’était parfait comme ça.Elle recracha dans une serviette en papier.Décidément, j’adore quand une vieille dame me tire une pipe.